La photographie est quelque part, comme un miroir pour l’humain, et c’est encore vrai dans
le cas du portrait.
Durant le 20e siècle particulièrement, Saint louis a connu, à l’instar comme de quelques villes du Sénégal, une riche production photographique, dans les Studios-Photos de l’époque. .
Durant le 20e siècle particulièrement, Saint louis a connu, à l’instar comme de quelques villes du Sénégal, une riche production photographique, dans les Studios-Photos de l’époque. .
Cette série de portraits titrée « Vintage », pour sa relation au passé, interroge la notion de
souvenir, et même de réminiscence pour certaines générations. Elle est composée
d’anciennes photos chargées d’histoire (s), d’émotion, et de temps-durée, qui peuvent
inviter à un véritable voyage dans le passé.
Aujourd’hui, ces images constituent une archive visuelle pour toute l’humanité, donc mémorielle, et elles sont de sortes « d’objets-témoins ».
A mon propre niveau, elles captivent mon attention et me motivent pour leur donner une seconde vie, à travers une démarche artistique, de création.
Ces photos anciennes sont un pan non négligeable du patrimoine saint-louisien, sénégalais et africain. Dans ce travail précisément, j’essaie de combiner des photos d’archives à des images du présent.
Les personnages qui figurent brandissent des « Photos-vintage », reflet d’hier et dissimulant leurs visages. En fait, je veux inviter à revaloriser une forme d’anthologie : créer des images qui capturent le sujet dans son cadre actuel, avec des photos chargées d’histoires.
Une façon de mêler l’historique au moderne ... !
C’est une façon encore pour moi de rendre hommage à ce temps de la photo en Noir et Blanc, en regardant ce temps autrement.
Ces photos ont pour vocation de nous éclairer sur le rôle historique, social et spirituel de la photographie dans nos sociétés modernes.
Ibrahima Thiam
Ibrahima sera en residence à L'Institut Français de Nouakchott du lundi 9 au samedi 21 janvier 2017.
Cette exposition est possible grâce à la collaboration de Zeinart avec l'IFM.
Aujourd’hui, ces images constituent une archive visuelle pour toute l’humanité, donc mémorielle, et elles sont de sortes « d’objets-témoins ».
A mon propre niveau, elles captivent mon attention et me motivent pour leur donner une seconde vie, à travers une démarche artistique, de création.
Ces photos anciennes sont un pan non négligeable du patrimoine saint-louisien, sénégalais et africain. Dans ce travail précisément, j’essaie de combiner des photos d’archives à des images du présent.
Les personnages qui figurent brandissent des « Photos-vintage », reflet d’hier et dissimulant leurs visages. En fait, je veux inviter à revaloriser une forme d’anthologie : créer des images qui capturent le sujet dans son cadre actuel, avec des photos chargées d’histoires.
Une façon de mêler l’historique au moderne ... !
C’est une façon encore pour moi de rendre hommage à ce temps de la photo en Noir et Blanc, en regardant ce temps autrement.
Ces photos ont pour vocation de nous éclairer sur le rôle historique, social et spirituel de la photographie dans nos sociétés modernes.
Ibrahima Thiam
Ibrahima sera en residence à L'Institut Français de Nouakchott du lundi 9 au samedi 21 janvier 2017.
Cette exposition est possible grâce à la collaboration de Zeinart avec l'IFM.